Quiz : testez vos connaissances sur le rafraichissement de toiture !


Une toiture recouverte d’un revêtement blanc doit être plus souvent nettoyée.

Faux. Comme un revêtement de toiture classique, elle s’entretient au moins une fois par an (feuilles, salissures diverses, etc). Pour éviter la stagnation des salissures, les toitures doivent avoir une pente d’au moins 2 %. De même, il existe des revêtements autonettoyants.

En hiver, il y a un risque de rafraîchissement des locaux.

Faux. Sur un toit, les principales pertes de chaleur proviennent d’un défaut d’isolation. Une membrane blanche n’a pas d’effet négatif notable sur le comportement du système d’isolation en hiver. D’autre part, le soleil est bas et les journées plus courtes en hiver.

Une toiture blanche stocke jusqu’à 10 fois moins de chaleur qu’une toiture noire.

Vrai. Selon le type de système – membrane, étanchéité liquide, peinture –, une toiture peut réfléchir jusqu’à 97 % du rayonnement solaire.

Le rafraichissement de toiture ne permet pas d’abaisser les températures dans les locaux.

Faux. Seul l’étage sous le toit en bénéficiera vraiment. Par rapport à une toiture qui n’est en pas équipée, la température intérieure est plus basse de 2 à 3°C, soit 15 % à 20 % d’économie sur la consommation d’énergie de rafraîchissement et de climatisation. Très intéressant pour les entrepôts frigorifiques.

Les membranes de rafraichissement de toiture sont plus durables.

Vrai. Elles souffrent moins de la chaleur, ce qui augmente la durée de vie du complexe d’étanchéité. Pendant les pics estivaux, l’écart de température entre une toiture recouverte d’un revêtement traditionnel et un rafraichissement de toiture peut atteindre 40°C.

 

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